Making their anguish so much worse was the raised expectation that their grievances would finally be redressed, as was the case during the 2006 election campaign when then opposition leader Stephen Harper promised compensation for the victims of the Metis residential school in Ile-a-la-Crosse, and then to be left out again when the new government took power.
Leurs souffrances ont été accrues par les promesses qui leur ont été faites de régler finalement le leurs griefs, comme ce fut le cas pendant la campagne électorale de 2006, lorsque Stephen Harper, alors chef de l'opposition, a promis que les victimes du pensionnat métis de l'Île-à-la-Crosse se verraient octroyer une indemnité. Toutefois, à l'arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement, les Métis ont une fois de plus été laissés de côté.