Mr. Speaker, in defeating the deficit, the Prime Minister and his Minister of Finance had a choice. They could have gone after the dead money, the $600 billion now sloshing around in the bank accounts of corporations, a staggering 32% of our GDP, or go after the live retirees, retired federal civil servants, breaking faith with promises by doubling their health care premiums.
Monsieur le Président, le premier ministre et son ministre des Finances avaient le choix pour vaincre le déficit:i ils pouvaient aller chercher de l'argent mort, par exemple les 600 milliards de dollars qui traînent actuellement dans les comptes bancaires des sociétés, une somme renversante qui représente 32 % de notre PIB; ou alors, il pouvaient s'en prendre aux retraités en vie, notamment aux fonctionnaires fédéraux retraités, en doublant les cotisations au régime de santé et en manquant ainsi à leur parole.