Under the new policy, the Commission will no longer assess whether any restrictions entered into by parties in the context of a merger, such as non-competition clauses or purchase and supply obligations, are "ancillary", in which case they would automatically benefit from the effect of the clearance decision.
Dans le cadre de la nouvelle politique, la Commission ne procédera plus à l'examen visant à déterminer si les restrictions conclues par les parties dans le contexte d'une concentration, telles que les clauses de non-concurrence ou les obligations d'achat et de fourniture, sont "accessoires", auquel cas elles bénéficieraient automatiquement des effets de la décision d'autorisation.