On 16 October 2006, the Federal Court upheld the decision to detain him on a security certificate, asserting that Mr. Jaballah should be removed from Canada as soon as could reasonably be done.[50] However, the Court also ruled that Mr. Jaballah could not be deported to Egypt , his country of citizenship, because of the risk of torture he would face there, nor to any other country where he could face a risk of torture.
Le 16 octobre 2006, la Cour fédérale a confirmé la décision de placer en détention Mahmoud Jaballah, en vertu d’un certificat de sécurité, en affirmant que ce dernier devrait être expulsé du Canada dans les meilleurs délais[50]. La Cour a cependant aussi jugé que M. Jaballah ne pouvait être expulsé en Égypte, son pays de citoyenneté, en raison du risque de torture auquel il serait exposé dans celui‑ci, ni vers aucun autre pays dans lequel il risquerait d’être torturé.