Furthermore, the EDPS wonders to which extent the current legal framework entrusts Europol — especially without changing its legal basis pursuant to the ordinary procedure established by the Lisbon Treaty — with the tasks and powers to make an administrative request coming from a third country ‘binding’ (Article 4.5) on a private company, which will thus become ‘authorized and required’ to provide data to that third country.
En outre, le CEPD se demande dans quelle mesure le cadre juridique actuel confie à Europol — surtout sans modifier son fondement juridique conformément à la procédure ordinaire établie par le traité de Lisbonne — la mission visant à faire en sorte qu’une demande administrative émanant d’un pays tiers devienne «contraignante» (article 4, paragraphe 5) pour une société privée, qui aura dès lors «le pouvoir et le devoir» de fournir des données à ce pays tiers.