In fact, the kind of soft diplomacy exemplified by these sanctions gave attackers plenty of time to consolidate their positions, while their victims, who are confronted to this situation on a daily basis, are forced into exile as part of a mass exodus.
Ces sanctions, cette diplomatie «soft», n'ont fait que donner du temps aux agresseurs pour solidifier leurs positions et pour ceux qui sont victimes de l'agression, et qui continuent de l'être de façon quotidienne, de prendre les chemins de l'exil, voire de l'exode, puisque les exodes sont massifs.