Mme Larochelle : Je partage totalement votre avis, mais de toute façon les outils qui sont déj
à enchâssés dans la partie XXIII du Code criminel permettent déjà aux tribunaux d'imposer des peines qui re
flètent le degré de dangerosité du contrevenant, et ce, sans qu'on doive ajouter cette disposition qui ris
que d'entraîner des décisions arbitraires fondées sur l'application de la loi, mais qu
...[+++]i sont incompatibles avec les objectifs de détermination de la peine et de la protection de la société.