Does the minister realize that his refusal is not only a threat to the environment, but also to Quebec's economy, because it prevents our businesses from having access to a market that could exceed $70 billion, and it also prevents them from selling their excess credits on those markets?
Le ministre est-il conscient que son refus menace non seulement l'environnement, mais aussi l'économie québécoise, car il prive nos entreprises de l'accès à un marché pouvant atteindre plus de 70 milliards de dollars et il les empêche ainsi de vendre sur ce marché leurs crédits excédentaires?