The court looked at the full evidence, including the evidence that child pornography is used to fuel fantasies by offenders that might incite them to commit a sexual contact offence, that it promotes cognitive distortions, that it may be used to groom and seduce victims, and that quite a bit of child pornography is produced through actual contact offences against a child.
La Cour a tenu compte de tous les éléments de preuve, y compris une preuve portant que la pornographie juvénile sert à alimenter des fantasmes qui pourraient inciter à commettre une infraction de nature sexuelle avec contact, qu'elle favorise la distorsion cognitive, qu'elle peut servir à initier et à séduire des victimes, et que dans bon nombre de cas, de vrais enfants sont utilisés pour produire la pornographie juvénile.