I recall that when I first returned to Canada, to Quebec, victim services, which were funded entirely through victim surcharges, did not have enough money to buy office supplies, pencils, because there was a lack of funds for the program.
Je me souviens qu'à mon retour au Canada, au Québec plus précisément, les services aux victimes, qui étaient presque entièrement financés au moyen des suramendes compensatoires, n'avaient pas assez d'argent pour acheter des fournitures de bureau, comme des crayons, parce que le programme manquait de fonds.