I admit that with America you can leave things until 2010, but with the other countries – such as Russia and China – we need to talk things through so that our non-integrated solution does not endanger our airlines and our airports with their many thousands and millions of employees.
J'admets que, s'agissant des États-Unis, il est possible d'attendre jusqu'en 2010, mais, avec les autres pays – comme la Russie et la Chine –, il faut engager les pourparlers sans délai, si l'on veut que notre solution unilatérale ne mette pas en péril nos compagnies et nos aéroports, et des centaines de milliers, voire des millions d'emplois avec.