If you reflect on that, you can begin to see how difficult it was for intelligence communities around the world, whether British, American, Australian or Israeli — and we know the nature of their assessments because of parliamentary and other forms of public inquiries — to come up with any alternative analysis except that Saddam Hussein must have this stuff.
Si vous y réfléchissez, vous commencez à voir combien il était difficile pour les services de renseignement du monde, qu'ils soient britanniques, américains, australiens ou israéliens — et nous connaissons la nature de leurs évaluations grâce aux enquêtes publiques parlementaires et autres — d'arriver à une conclusion autre que celle que Saddam Hussein devait posséder ces armes.