In recent years, donors have provided increased funding through various means: through the Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria, a public-private partnership that considers the recipient countries’ own requirements and health systems; [107] through the World Bank; bilaterally; and through non-governmental organizations.
Depuis quelques années, les donateurs augmentent leur financement par divers moyens : le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, un partenariat public-privé qui tient compte des critères et systèmes de soins médicaux propres aux pays bénéficiaires[107], la Banque mondiale, bilatéralement, et les organisations non gouvernementales.