I would like to start from the Mr Martinez’s happy fault when he juxtaposed the two debates: I say “happy fault” because the atmosphere of the second debate, which was on Africa, could not have been more tragically different from the Lisbon debate.
Je partirai d’une réflexion, de la faute heureuse de M. Martinez, qui a superposé les deux débats. Je dis "faute heureuse" parce que je crois que le prochain débat, celui sur l’Afrique, ne pourrait mettre en exergue une atmosphère plus gravement différente de celle du Conseil de Lisbonne.