Leaving aside whether or not there are inappropriate arrangements between audit firms and management — such as may have been in Enron — but in a fair and honest relationship, there is, it appears obvious to me, so easy an invitation to management, with profit-driven, stock performance-related compensation schemes, that they have really come into an adversarial position with the auditors.
À part dans les cas où il pourrait y avoir collusion entre les cabinets de vérificateurs et la direction—comme dans celui d'Enron, peut-être—, il me semble évident que dans des relations honnêtes, la direction dont les motivations sont fondées sur les profits et dont le régime de rémunération est basé sur la performance des actions, a tendance à être de plus en plus en opposition avec les vérificateurs.