But I think it has always been understood as a matter of cultural policy that it's good to have a Canadian-owned publishing industry along with the foreign-owned one, and not make us entirely dependent on the branch plants, who historically did not develop Canadian writing but in a sense marketed foreign product here.
Je pense qu'on a toujours considéré sur le plan de la politique culturelle que c'est une bonne chose d'avoir une industrie de l'édition appartenant à des Canadiens en plus de l'industrie étrangère pour que nous ne soyons pas entièrement à la merci des filiales qui, dans le passé, n'ont pas tellement contribué à l'essor des auteurs canadiens, mais se sont limités à vendre au Canada des produits étrangers.