If Sergio Vieira de Mello were with us today – and, indeed, if Andrei Sakharov were too – they would say to you what I say to you: the people who move across borders today, in search of a better life for themselves and their families, are our brothers and our sisters too. Let us treat them that way.
Si Sergio Vieira de Mello était ici avec nous - et Andrei Sakharov aussi, d’ailleurs - ils vous diraient la même chose que moi: que ceux qui se déplacent d’un pays à l’autre en quête d’une vie meilleure pour eux-mêmes et leur famille sont nos frères et nos sœurs, et que nous devons les traiter comme tels.