Back in 1997, at the time of the decisive vote on the last directive, I told Martin Bangemann, who was the Commissioner responsible at that time, that the only good thing to be said about the old directive was that it had an expiry date, that it would eventually lapse.
J'ai déjà eu l'occasion de dire en 1997 lors du vote décisif sur la dernière directive à propos de l'ancien commissaire Bangemann : si quelque chose de positif est à signaler à propos de l'ancienne directive, c'est bien le fait qu'il existe une date butoir, le fait que cette directive est appelée à expirer un jour !