What our treaty did was it very much called for the fishery commission to make sure that all of the jurisdictions are talking to each other, because up until the 1950s, each jurisdiction managed in their own little piece of the lake, which doesn't make a lot of sense, especially when Canadian and American jurisdictions sometimes had wildly different opinions about how management should occur.
Notre traité demandait à la Commission des pêcheries de faire en sorte que toutes les instances parlent entre elles, car jusque dans les années 1950, chacune gérait son propre petit morceau de lac, ce qui n'était pas très logique, d'autant plus que la province canadienne et les États américains envisageaient parfois la gestion de façon très différente.