Politicians who, yesterday and the day before that, while discussing the Fava report, brandished international law and insisted on human rights – which they were right to do – are now suddenly talking about the need to respect China’s sovereignty, whilst not breathing a word about the illegal occupation and subsequent annexation of Tibet, about the mass human rights violations, the ever increasing exclusion of the Tibetans from their local government, or the Namdrang Rangdrik programme, launched in 2005, whereby Tibetans are forced to demolish their houses and subsequently rebuild them according to strict official guidelines.
Les responsables politiques qui, hier et avant-hier, ont brandi, dans le cadre de l’examen du rapport Fava, le droit international et ont insisté - avec raison - sur le respect des droits de l’homme parlent tout à coup de la nécessité de respecter la souveraineté de la Chine sans souffler mot de l’occupation illégale du Tibet et de son annexion qui a suivi, des violations massives des droits de l’homme, de l’exclusion croissante des Tibétains de leur gouvernement local ou du programme Namdrang Rangdrik, lancé en 2005, obligeant les Tibétains à démolir leurs propres maisons et à les reconstruire selon des normes officielles strictes.