I think that if you put two and two together, the chief prosecutor at the time looked at the allegations in Omar's case, the fact that he had allegedly killed a soldier, that there was a real victim, that there was a family, and so forth, and saw that this case might be one with more media appeal and might serve to publicly legitimate the military commission's process when compared with the cases of the other prospective defendants.
Alors, je crois que le calcul est bien simple. En considérant les allégations soulevées dans le cas d'Omar, le fait qu'il avait prétendument tué un soldat, qu'il y avait une véritable victime, avec une famille, et ainsi de suite, le procureur en chef de l'époque a constaté que c'était le dossier qui était susceptible d'avoir le plus d'impact dans les médias et qui pourrait servir à légitimer publiquement le processus de la commission militaire.