Ce débat ressemble un petit peu à celui qu'on a entendu lors d
e la première table ronde au sujet de toute la dichotomie et du conflit qui existe entre, d'une part, les créateurs qui cherchent à se développer à la base et qui n'ont pas d'argent et, d'autre part, l'impératif très important que M. Paradis et Mme Baillargeon ont souligné,
à savoir que si on veut réussir à pénétrer un marché qui se fait de plus en plus compétitif et à faire face à la concurrence qui se fait à l'échelle mondiale aujourd'hui, il faut avoir les outils nécessaires pour
faire les ...[+++]choses en grand.