I'm wondering if we are back to the same thing, especially in giving a weak definition of what is supposed to be the precautionary principle, whereas we should be reversing the onus onto the producer to show that there are now aggregate exposures, multiple exposures, or the possibility of endocrine-disrupting factions in the various formulants.
Je me demande si nous revenons à la même chose, particulièrement si on donne une définition plutôt faible de ce qui devrait être un principe de prudence, tandis que nous devrions renverser le fardeau de la preuve de façon à ce que le producteur doive démontrer qu'il y a un risque global, un risque multiple ou la possibilité de la présence de modulateurs endocriniens dans les divers formulants.