This boycott was in part a demonstration of the disapproval of the partner countries of, firstly, the considerable pressure placed on them by the Commission and the Member States to conclude cooperation agreements on migration policies and on the fight against terrorism and, secondly, the lack of budgetary prospects for the implementation of a true cooperation and development policy.
Cette désertion marquait en partie la désapprobation des pays partenaires face, d'une part, à une très forte pression exercée sur eux par la Commission et les États membres pour la conclusion d'accords de coopération sur les politiques migratoires et sur la lutte contre le terrorisme et, d'autre part, au manque de perspectives budgétaires pour la mise en place d'une réelle politique de coopération et de développement.