Does my colleague from Honoré-Mercier have any comment on the impact of this deterioration, if we allow things like that to happen in terms of our very fragile communities, which I have to say, even if it hurts me to do so, are slowly dying, mainly in Quebec, but undoubtedly in other parts of Canada as well?
Mon collègue d'Honoré-Mercier a-t-il des commentaires à formuler justement au sujet de l'impact de l'effritement, si on laisse des choses comme celles-là passer, en regard de nos collectivités très fragilisées et de nos collectivités — je dois le dire même si cela me fait beaucoup de peine — qui se dévitalisent de plus en plus, au Québec principalement, mais sans aucun doute également ailleurs sur le territoire canadien?