The third key point is that the Security of Information Act has set up a bureaucratic monster that requires the government to identify persons permanently pledged to secrecy, which, as the act is written, includes all veterans of what used to be called the ``Communications Branch of the National Research Council,'' which was formed in 1946.
Le troisième point, c'est que la Loi sur la protection de l'information a créé un cauchemar bureaucratique, en ce sens que le gouvernement doit identifier les personnes astreintes au secret à perpétuité qui, selon le libellé actuel, incluent tous les anciens employés de ce qu'on avait l'habitude d'appeler la « Direction des télécommunications du Conseil national de recherches » créée en 1946.