Really, what we need to see is greater accountability mechanisms, an ability to trigger reviews—and, we would argue, judicial reviews, reviews that can cause the courts to look at these matters in the way that Louise Arbour recommended when she looked at what happened at the Prison for Women in 1994.
De fait, nous avons besoin de mécanismes pour une plus grande reddition de comptes, de la capacité de déclencher des examens et, selon nous, des examens judiciaires, des examens qui pourraient amener les tribunaux à se pencher sur ces questions de la manière recommandée par Louise Arbour lorsqu'elle a examiné ce qui s'était passé dans les prisons pour femmes en 1994.