Equally, it is totally premature to propose that Turkish should become an official language of the EU at a time when nobody knows what status would be granted to this language in the event of accession, nor the importance of the population affected, which must be taken into consideration if we want to stop multilingualism leading to unmanageable problems.
Il est également tout à fait prématuré de proposer que le turc devienne langue officielle de l’Union, alors que personne ne connaît le statut qui serait réservé à cette langue dans le cadre d’une éventuelle adhésion, ni l’importance de la population concernée, qui doit être prise en compte si l’on veut éviter que le multilinguisme ne débouche sur des problèmes ingérables.