So we're saying that in a world of international commerce, for those who would extend credit to Canadians or provide any financial service that is not a deposit or a policy where we're counting on the money being paid back, we should be open to it as long as such providers are prepared to open themselves to Canadian standards of consumer protection, the disclosure and the like, and if there's a dispute they'll agree it can be resolved in a Canadian court.
Par conséquent, nous estimons qu'il faut permettre, dans un monde de commerce international, à ceux qui souhaitent offrir du crédit à des Canadiens ou leur offrir des services financiers autres que d'accepter des dépôts ou d'offrir des polices d'assurance—car il faut alors compter que l'argent pourra être rendu aux consommateurs—, de le faire tant et aussi longtemps qu'ils sont disposés à respecter les normes canadiennes de protection du consommateur, de divulgation de renseignements et tout le reste, et qu'en cas de litige, ils acceptent de s'en remettre à la décision d'un tribunal canadien.