If there were urgent requests on the part of police officers and those folks who keep us safe, indicating that they are unable to fight terrorism in Canada and Quebec or—alongside Interpol—elsewhere in the world, then we would need to do something about it.
Si on avait eu des demandes pressantes de la part des forces policières et des gens qui assurent notre sécurité, selon lesquelles ils sont incapables de contrer le terrorisme au Canada, au Québec ou sur la scène internationale, grâce à Interpol, on aurait dû prendre des mesures.