By our estimates, for most people, if their wife has left employment because of posting for example to Europe or to other areas, the loss of that second income or the loss of seniority in a second job, which is now a feature of Canadian families everywhere, represents, over a 20-year career, a deficit of some $200,000 in capital, and this represents a loss of equity to buy houses.
Selon nos estimations, pour la plupart des hommes mariés, si leur épouse a quitté son emploi à cause d'une affectation en Europe, par exemple, la perte de ce deuxième revenu ou la perte de l'ancienneté accumulée dans ce poste correspondant au deuxième revenu du ménage, qui est aujourd'hui la réalité de familles canadiennes partout, représente, sur une carrière longue de 20 ans, un déficit de quelque 200 000 $, soit la perte d'un capital pouvant permettre d'acheter une maison.