We submit that the special advocate regime, as it stands, does not overcome the constitutional hurdle set out in Charkaoui v. Canada, namely because the process is highly secretive and does not provide for the person to know the entire case against him and, therefore, adequately challenge it.
Nous considérons que le régime de l'avocat spécial, en l'état actuel, ne remplit pas les conditions de constitutionnalité établies dans Charkaoui c. Canada, notamment parce que le mécanisme est hautement opaque et ne permet pas à la personne de connaître tous les éléments retenus contre lui et, par conséquent, de les réfuter adéquatement.