At the time, the Government of Quebec and many other stakeholders, such as youth groups, youth shelters, street youth workers and organizations that oversaw the Young Offenders Act and that applied alternative measures for young offenders, opposed a critical element of the proposed reform, which was that young people aged 14 or 15 could be subjected to adult sentences and be tried in adult court.
À l'époque, le gouvernement du Québec ainsi que plusieurs intervenants, par exemple des groupes de jeunes, des maisons de jeunes, des travailleurs de la rue, des organismes qui chapeautaient la Loi sur les jeunes contrevenants et qui appliquaient les mesures de rechange pour les jeunes contrevenants, s'opposaient à une mesure essentielle de la réforme proposée, soit celle que des jeunes de 14 et 15 ans puissent être soumis à des peines pour adultes, donc être jugés devant un tribunal pour adultes.