This is not the situation in Canada where past cases have established that failure to comply with the surviving husband's, wife's or next of kin's directions for organ donation may amount to an interference with their right to dispose of the deceased's body as they wish and result in a claim for damages.
Ce n'est pas la situation au Canada, où la jurisprudence a établi que ne pas exécuter les instructions du conjoint, de la conjointe ou du parent le plus proche de la personne décédée concernant le don de ses organes peut équivaloir à brimer leur droit à disposer du corps de cette dernière comme ils l'entendent et donner lieu à des poursuites en dommages et intérêts.