In environmental terms, the preferred option is to cover all flights departing from EU airports, as limiting the scope to “intra-EU” flights, which both depart and land in the EU, would address less than 40%[10] of the emissions from all flights departing from the EU.
En termes environnementaux, l’option préférée est de couvrir tous les vols au départ des aéroports de l’UE, car en se limitant aux seuls vols «intracommunautaires» au départ et à destination de l’UE, on ne tiendrait compte que de moins de 40%[10] des émissions de tous les vols au départ de l’UE.