They then have their ID papers taken, are kept locked up, rarely know where in the world they are, hear only foreign tongues, are beaten, threatened and, above all, made to make their bodies available in whatever ways their customers may conceivably desire.
Ensuite, elles sont dépouillées de leurs papiers d’identité, sont enfermées, ne savent que rarement où elles se trouvent, n’entendent que des langues étrangères, sont battues et menacées et, surtout, doivent prêter leur corps à tous les fantasmes possibles et imaginables de leurs clients.