Are we going to act diplomatically until the resource is totally gone, until there is none left for our communities, whether it is in Newfoundland, in the other maritime provinces, in Quebec, in the Lower St. Lawrence region, particularly in Cap-Chat, where a large number of groundfish fishers are in a difficult situation?
Allons-nous agir de façon diplomatique jusqu'à ce que la ressource soit totalement disparue, jusqu'à ce que nous n'en ayons tout simplement plus pour nos communautés, que ce soient celles de Terre-Neuve, des autres provinces maritimes, celles du Québec, du Bas-Saint-Laurent, de Cap-Chat, en particulier, où un grand nombre de pêcheurs de poisson de fond se trouvent dans une situation difficile?