Mr. Speaker, the irony is that we have already gone through the no-fly list issue. Now the question becomes whether there is a problem when Canadian business people and tourists want to go to a certain country, or have to fly over a certain area, and that foreign state requires that this information be provided.
Monsieur le Président, ce qui est paradoxal, c'est que nous avons déjà débattu de la liste d'interdiction de vol. La question qu'il faut maintenant se poser est de savoir s'il y a un problème lorsque des gens d'affaires et des touristes canadiens veulent aller dans un pays donné, ou doivent survoler une région donnée, et que cet État étranger exige que ces renseignements lui soient fournis.