If all those threats went away, I would still support research and development on missile defence if for no other reason than to avoid technological surprise, perhaps not at the current level of spending, most of which is not going into R&D, but is going into hardware — hardware that doesn't work, I might add.
Dans de telles circonstances, j'appuierais encore les programmes de recherche et de développement sur la défense antimissile, ne serait-ce que pour éviter toute surprise sur le plan technologique — il faudrait peut-être réduire les dépenses, lesquelles sont principalement affectées non pas à la recherche et au développement, mais à l'achat de matériel, qui, ajouterais-je, ne fonctionne pas.