But I do so recognising that my predecessor, Javier Solana, spent six years in dialogue, six years offering to continue that debate; so, dialogue, but not as an excuse for inaction on behalf of Iran, but rather as a means of making sure that we develop the strength of that relationship and that we achieve what we believe to be important.
Mais je le fais tout en reconnaissant que mon prédécesseur, Javier Solana, a passé six ans à dialoguer, six ans à offrir de poursuivre le débat. Alors, oui au dialogue, mais pas comme prétexte à l’inaction au nom de l’Iran, mais au contraire comme un moyen de nous assurer que nous accroissons la force de cette relation et que nous obtenons ce que nous jugeons important.