Le texte repris en annexes dans le point 6.3. rejoint les conclusions de l’expertise collective réalisée par l’INSERM en 2004 (Psychothérapie - Trois approches évaluées, p. 513). Dans ce rapport, les auteurs, étudiant les effets des thérapies familiales en fonction des troubles p
sychopathologiques, montrent que les thérapies familiales présentent un intérêt significatif pour les schizophrénies (
4 méta-analyses, 6 études contrôlées), l’anorexie (5 études contrôlées, une revue systématique), les troubles de l’humeur (5 études contrôlée
...[+++]s), l’alcoolodépendance ( 2 méta-analyse, 2 revues systématiques), l’autisme infantile ( 7 études contrôlées), l’hyperactivité ( 3
gecontroleerde studies), anorectische patiënten (5 gecontroleerde studies, één systematisch overzicht), stemmingsstoornissen (5 gecontroleerde studies), alcoholverslaving (2 meta-anlyses, 2 systematische overzichten), autisme bij kinderen (7 gecontroleerde studies), hyperactiviteit (3 gecontroleerde studies, 2 gecontroleerde toekomstgerichte studies), oppositiegedrag (8 gecontroleerde studies) en angststoornissen bij kinderen (1 gecontroleerde studie).