Le premier, c'est bien évidemment cette crise qui nous est venue des États-Unis, qui est le reflet du deuxième âge de la globalisation, celui où la question de l'inflation est de retour, celui qui est marqué par une récession américaine qui menace, qui est marqué par un taux de change entre l'euro et le dollar qui défavorise nos exportations – même s'il a par ailleurs des avantages –, et qui est marqué aussi par une hausse incroyable des commodities , du pétrole et des produits alimentaires.
Het eerste is vanzelfsprekend de huidige crisis, afkomstig uit de Verenigde Staten, die laat zien dat we ons in de tweede fase van de globalisering bevinden, waarin de inflatie weer terug is en die wordt gekenmerkt door een euro/dollar-wisselkoers die ongunstig is voor onze export – al heeft die koers ook voordelen – en door een ongelofelijke stijging in de prijs van grondstoffen, olie en voedsel.