Since premium rates represent in fact a tax on jobs-and we are not alone in thinking so-and since the employment insurance fund is forecast to grow from $5 billion this year to $10 billion next year, what is the minister waiting for to substantially reduce premium rates, as requested by the official opposition, the business community, and the Canadian Chamber of Commerce, instead of using the fund to artificially reduce the deficit?
Lorsqu'on sait que les taux de cotisation sont en réalité une taxe à l'emploi, nous ne sommes pas les seuls à le dire, et que la Caisse d'assurance-emploi, qui totalise cette année cinq milliards, va, suivant toutes les prévisions, totaliser l'année prochaine 10 milliards, qu'attend le ministre pour diminuer substantiellement les taux de cotisation, comme l'ont demandé l'opposition officielle, les entreprises, la Chambre de commerce du Canada, au lieu de s'en servir pour diminuer artificiellement le déficit?