They have been on hunger strike since 28 November, face a possible death penalty, and yet are neglected by European leaders. This is in spite of the fact that, in early September, I warned European governments, the Commission, the US Government and the UN Secretary-General that the regime might be planning the selective repression of Ethiopian opposition leaders.
Ils ont entamé une grève de la faim le 28 novembre, risquent la peine de mort et, pourtant, les dirigeants européens les ignorent, en dépit de mon avertissement au début du mois de septembre aux gouvernements européens, à la Commission, au gouvernement américain et au secrétaire général de l’ONU, que j’avais mis en garde contre le risque que le régime planifie la répression sélective de chefs d’opposition éthiopiens.