But I don't think even shareholders in banks—and I am one of them and my wife is another one—would want them to prosper a little bit more at the expense of Canadians being unemployed, being discarded from the mainstream of society, not having any purpose in life, not having any hope and having their aspirations dashed.
Mais je ne pense pas que même les actionnaires des banques—et j'en suis, avec ma femme—souhaitent qu'elles prospèrent encore davantage si de ce fait les Canadiens sont au chômage, écartés du grand courant de la société, sans but dans la vie et sans aucun espoir de réaliser leurs aspirations.