When I appeared before you in May 2001, the Bank of Canada had expectations of a modest pickup in growth in the second half of 2001 and further strengthening in 2002. But, by midsummer, evidence began to accumulate that the expected rebound in U.S. investment would be delayed and that the economic slowdown there would be deeper and more protracted than previously expected.
Lorsque j'ai témoigné devant ce comité en mai 2001, la Banque du Canada croyait que la croissance allait connaître une modeste reprise au second semestre de 2001 et s'accélérer encore en 2002, mais au milieu de l'été, il est devenu de plus en plus clair que la relance des investissements aux États-Unis serait retardée et que le ralentissement dans ce pays serait plus prononcé et plus long que prévu.