If a treaty did not provide for one of these grounds of discretion, the minister could legitimately say she is not going to exercise it, she is not going to send the person back, for example, in the situation given, because she believes the person is actually going to be prosecuted or punished because of religious views and not because of the commission of a criminal offence.
Si un traité ne prévoit pas l'un ou l'autre de ces motifs de refus, le ministre pourrait légitimement dire qu'il refuse de l'appliquer, qu'il refuse de renvoyer la personne parce que, dans l'exemple que l'on donnait, le ministre est convaincu que la personne sera poursuivie ou punie pour ces croyances religieuses et non pas parce qu'elle a perpétré un acte criminel.