Secondly – and in Cancun, if not sooner – the WTO must at long last deliver on the Doha promise in order to widen the benefits of the TRIPS in public healthcare to countries with a modest, or no, pharmaceutical industry, which the United States has stood alone in blocking since December 2002.
Deuxièmement, l’OMC doit, si elle ne l’a pas encore fait, concrétiser enfin la promesse faite à Doha, promesse destinée à étendre également les avantages des ADPIC aux soins de santé publics dans les pays où l’industrie pharmaceutique est inexistante ou limitée. Les États-Unis bloquent à eux seuls cette extension depuis décembre 2002.