And there is a third double standard, which raises the question of our credibility and whether the European Union has the right to criticise third countries with regard to human rights and minority rights when there are some countries in the Union where several hundreds of thousands of people do not have nationality, like two of the Baltic States, or when there is a leading power in the European Union whose constitution still rejects the recognition of regional languages.
Et enfin, il y a un troisième cas d'inégalité de traitement qui remet en question notre crédibilité et le droit de l'Union européenne à critiquer des pays tiers en matière de droits de l'homme et de droits des minorités, alors que certains pays de l'Union européenne abritent plusieurs centaines de milliers de personnes sans nationalité, comme par exemple deux des États baltes, ou alors même que la constitution de l'une des grandes puissances de l'Union européenne refuse encore de reconnaître les langues régionales.