Underlining this concern, Jon Johnson, one of Canada's leading trade lawyers, bluntly informed the Romanow Commission that, if the NAFTA expropriation provisions “and the accompanying investor-state dispute settlement mechanism procedures had existed in the 1960s, the public health system in its present form would never have come into existence”.
Mettant cette préoccupation en lumière, Jon Johnson, un des meilleurs avocats en droit commercial du Canada, a carrément affirmé devant la Commission Romanow que, si les dispositions de l'ALENA sur l'expropriation « et leur mécanisme de règlement des différends entre les investisseurs et les États avaient existé dans les années 1960, le système de santé publique que l'on connaît aujourd'hui n'aurait jamais pu voir le jour ».